015 - POLITIQUE POUBELLE

Pipo et grande gueule  !  015 - Le 17 février 2011

Seul endroit où l'opposition puise ses idées

 Benoît HAMON, le pitbull de service, toujours la bave et l’invective à la bouche avec des airs de matamore, porte-parole de cette gauche gesticulante et vocifératrice, n’a de cesse d’interpréter la plus petite parole qui n’entre pas dans la sphère de ses ambitions.

 Dénigrement, intox, désinformation, l’idéologie socialo-communiste se révèle dans toute sa sombre vérité.

 Il n’y a pas un jour où il ne trouve à redire à tout et sur rien, prêt à créer le « buzz » et de demander la démission d’un membre du gouvernement sinon du gouvernement tout entier, voir de la Présidence. Il s’attribue bien des pouvoirs, au mépris de la décision démocratique des urnes, en s’instituant en Saint Just pour voir l’accomplissement de ses desiderata.

 Ce petit trublion oublie tout de même une chose, c’est que ce gouvernement est issu du vote populaire. Evidemment, pour les idéologues socialo-communistes, la démocratie n’a de valeur que dans la mesure où elle ne sert que ses propres intérêts.

 Danger public qui n’hésite pas remuer la fange dans laquelle il aime se vautrer. Interprétation haineuse de paroles qui ne se voulaient être qu’une comparaison de lieux de vies. Ce relent nauséabond sorti des neurones « moisis » de ce gesticulant de service.

 Interprétation reprise par certains alors qu’ils sont les premiers à désigner à la vox populi leur haine des Juifs par leurs littératures consultables sur les murs de nos villes. Décidément, en France, la politique atteint des excès édifiants.

 Il ne semble pas que l’élection de 1981 d’un certain Président, François MITTERAND, à la carrière politique en zigzags, ait soulevé, de la part de l’opposition de l'époque, ce flot d’ignominie qui se déverse actuellement, ni durant la durée de son « règne » où même la presse se montrait complice de ses libertés prisent avec sa charge.

 Jamais on aura autant vomit sur un Président de la République. Il est reconnu qu’il n’a pas l’art et la manière qui satisferaient tout le monde. Il n’a ni l’empathie pour la morgue d’un GISCARD D’ESTAING ou d’un François MITTERAND. Le premier se voulant, artificiellement être près du peuple, l’autre se voulant condescendant et nettement au-dessus de lui. Ou bien d’un autre Président, Jacques CHIRAC, qui, sous des traits avenants et sympathiques, ne tenait qu’à profiter du rang de sa charge pour en goûter tous les avantages, dans un immobilisme politique criant.

 Le Président SARKOSY, essaie à sa manière de démocratiser cette charge. Cela devrait pourtant plaire à beaucoup de donneurs de leçons démocratiques. A moins que, après avoir guillotiné à tour de charrettes, ils n’aient la nostalgie d’une royauté républicaine. ?

 Ne faire que de « l’anti-Sarkosisme primaire » de manière systématique est puérile et démontre une certaine limitation intellectuelle. Cela devient outrancier au-delà de toute crédibilité. Surtout lorsqu’on n'est pas capable d’apporter la contradiction avec des propositions constructives.

 Est-ce que les électeurs vont être enclins à supporter encore longtemps ce genre d’opposition stérile où, apparemment, seul compte leur propre intérêt personnel pour les élections futures.?

 Mais on ne pourra pas dire qu’il n’aura pas « mouiller la chemise « pour faire bouger les lignes. Si le Président MITTERAND en avait fait le quart lors de ses deux septennats, au lieu de soigner son image de royaliste-républicain imbu de sa personne, il n’aurait pas instauré le déficit dans lequel se trouve le Pays.

 Non plus son remplaçant, plus apte à organiser des réceptions, à « baffrer » et voyager à bon compte sur les deniers des contribuables alors qu’à deux cent mètres de l’Elysée se mourraient de froid des SDF. !

 Le pitbull de service devrait réfléchir à certain adage qui préconise de s’élever soi-même par son propre mérite et non pas en recherchant la médiocrité des autres. Se vouloir malfaisant et nuisible pour les autres peut amener un retour de bâton mérité. Certain que nombreux s’en souviendront au moment des choix. On demande d’autres qualités pour assumer des responsabilités.

 PS_ après « l’affaire WOERTH », voici « l’affaire ALLIOT-MARIE » montée en épingles et ressassées  à longueurs de semaines. Bravo la presse d’investigation et il en faudrait d’avantage pour redorer le blason de la presse politique. Mais la rétention d’informations distillées à des moments « choisis » ne l’honore absolument pas et cela devient de l’information orientée, et trop souvent dans le même sens. Donc partial et pas digne de crédibilité car on se pose des questions sur l’honnêteté des faits relatés.

NOTA_ Il paraîtrait que certains anciens responsables de l’opposition, auraient également des intérêts dans les sociétés installés au Maghreb. Je crains que leurs poubelles aient un des relents qui rappelleraient celle de la présidence de « Tonton François et fils » .. A creuser messieurs les investigateurs.!.. Avec impartialité.

Il n'est pas de convaincre mais d'informer pour une prise de conscience face à la désinformation qui nous submerge constamment.. Qui croire ? Ne soyons surtout pas aveugle sur certaines "vérités" qui ne sont que poudre aux yeux et qui taisent les véritables problèmes.

Vous savez ce que j’en dis, ce n’est juste que mon avis.. Mais aussi celui de beaucoup d’autres.

A vos commentaires et bonne journée à tous.

Le Mistigri

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Commentaires (1)

1. Loui 20/02/2011

Bonjour,
Bien vu, beaucoup vont se reconnaître.
Vous allez pas vous faire des amis.
Amitiés

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