Pour un essai Royal.. Ce le fut.. Une royale déculottée ! - 065 - le 27 juin 2012
Elle lèvera bientôt son Royal séant du siège de la présidence au Conseil Général de Charente-Poitou
Après sa rocambolesque démarche à La Rochelle, ce pamphlet pour dénoncer sa déplorable attitude !
1Près du vieux port antique, dans la cité fameuseSe livrait sous nos yeux, une bataille glorieuseCes murs avaient connu, le siège de RichelieuVenu prendre la ville, reparti victorieux 2 Les siècles sont passés, Mais cette cité fièrePrésente sans trembler, son visage à la mer.Mais celle qui aujourd'hui, rêve de la faire tomberPilotée de Paris, est venue de Poitiers 3Elle se croyait sans doute, dans un terrain conquisQuelle arriva certaine, de gagner la partieMais c’était sans compter, sur sa capacitéA perdre tous les combats, quelle crut toujours gagner 4Mais sans compter aussi, sur l'homme qui terréDans les ruelles étroites, de sa ville tant aiméeRegardait amusé, Royal parachutéeSavait bien qu’ici, elle allait s'écraser 5Avec un grand panache, celui de l'insoucianceFALORNI attendait, l'heure de résistanceRamassa le drapeau et le leva bien hautLa bataille commençait comme à Solferino6Drapeau de son courage, et couleurs de l'honneurC'est sous ce bel ombrage, qu'il sortira vainqueurFace aux déracinés, qui d’orgueil boursouflésConsidèrent les Français, dénués de fierté 7Rendant ainsi hommage, aux héros du passéQui à travers les âges, et désintéressésCombattirent sans relâche, les plus odieux outragesFALORNI décida, d’écouter les suffrages 8Et le déferlement, des momies du partiAussitôt commença, dans le plus grand méprisEt c’est par trains entiers, que nos chers oligarquesGonflés de suffisance, à la Rochelle débarquent | 9Les ennemis d'hier, qui jadis l'insultaientEn cortège mortuaire, à son secours volaient.Même le président, le père de ses enfantsSoutenait cette intruse, dans un ultime élan 10Mais dans l'ombre dorée, de son immense palaisLa favorite aimée, sa vengeance préparait.Elle voulait achever, sa rivale blesséeCelle qui avait osé, avant elle l'aimer. 11D’un message ravageur, elle sonna le signalDu début prometteur de la curée royale.Nous révélant ainsi, qu'en France désormaisC'est bien du fond des lits, qu’on dirige les Français. 12Cette gauche si normale, qui n’a jamais cesséDe nous faire la morale, de vanter sa puretéMontre quelle sait maintenant, se gaver de caviarTout en nous dirigeant, du fond de son plumard 13FALORNI mon héros, dresse-toi sur tes piedsContre tous ces bobos, et ces déracinésÉcrase cette migratrice, qui rêvait du perchoirEt bats cette amatrice, va chercher ta victoire. 14Et dimanche soir prochain, à travers le paysS'élèvera enfin, de la France un grand criCelui du soulagement, et de la gratitudeOn dira tes louanges, ton immense bravitude. 15Tu auras eu la peau, de celle qui croyaitQu'en la faisant tirer, elle tromperait les FrançaisTa gloire sera si grande, que pour toi s’ouvriraLe chemin du Pouvoir qu’elle ne méritait pas.
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C'était à ne pas manquer car, lorsque l’esprit est là, les espoirs sont permis, de quelques horizons soient-ils !
Le Mistigri
1. 27/06/2012
C'est ce qu'on appelle une "Royale" correction et j'espère que ça va la faire descendre une bonne fois pour toute de son "perchoir" !Ca a été la meilleur nouvelle des élections législatives.
Comment peut on aller chasser sur les terres d'un "AMI P.S" ?... c'est inconcevable, surtout quand on pense que la secrétaire du P.S s'est déplacée pour pébliciter son "AMIE" Quelle "FAUX CUL" puisqu'elle ne peuvent pas se voir !.... Heureusement, il y a toujours une justice un jour ou l'autre